L’appel vient d’Emmanuel Macron. Le président sortant dénonce la banalisation de Marine Le Pen et de l'extrême-droite. En 2002, Jean-Marie Le Pen et le Front National se qualifiaient pour le second tour de la présidentielle et un million de personnes descendaient dans la rue pour manifester. Rien à voir avec 2017 lorsque Marine Le Pen accédait elle aussi au second tour de la présidentielle.