Lors du procès des «viols de Mazan», l'avocat de plusieurs accusés a affirmé : «Il y a viol et viol et, sans intention de le commettre, il n'y a pas viol », sous-entendant que ses clients n'avaient pas notion de l'absence de consentement de Gisèle Pélicot. Faut-il inscrire dans la loi que tout acte sexuel sans consentement explicite est un viol ? C'est ce que l'Espagne a fait en 2022, après le procès retentissant de cinq hommes pour viol en réunion. Récit en archives.