Réunis lundi 4 mars à Versailles, sénateurs et députés doivent se prononcer sur la constitutionnalisation de l'avortement. Pour que le texte soit adopté, 3/5e des parlementaires doivent voter pour. Si c’est le cas, la France sera le premier pays au monde à inscrire dans sa Constitution la liberté d’avoir recours à l’IVG. Une action historique dans un pays où l’accès à l’avortement peut encore être difficile. C’est le cas depuis la loi Veil en 1975.